Mimy Muisa Kambere, promoteur de la santé publique pour Oxfam en Haïti et personne en charge de l'évaluation du début de la flambée épidémique du choléra à Carrefour a déclaré « La flambée épidémique actuelle du choléra dans la région de Carrefour est bien pire que celle enregistré en Novembre. À cette époque, il y avait un maximum de 900 cas signalés de choléra par semaine. Maintenant, plus de 300 nouveaux cas sont enregistrés chaque jour. » soulignant que « Toutefois, le nombre de victimes est beaucoup plus faible que nous l'avons vu en Novembre, les gens sont maintenant en mesure d'obtenir de l'aide plus rapidement. »
« Les premiers cas de cette nouvelle flambée de l'épidémie sont originaires d'une communauté au sud de Port-au-Prince, dans une zone montagneuse, près d'une rivière. Cette zone n'a pas accès à des installations sanitaires et il y a très peu d'eau potable disponible. L'arrivée des fortes pluies la semaine dernière a facilité la propagation de la bactérie dans les sources d'eau locales, qui peuvent avoir provoqué la propagation de la bactérie » précise Mimy Muisa Kambere.
« Nous faisons tout notre possible pour arrêter la propagation de l'épidémie. Oxfam renforce ses programmes d'eau, d'assainissement et d'hygiène dans les camps où nous travaillons déjà dans le région de Carrefour. La propagation du choléra peut être arrêtée par de bonnes pratiques d'hygiène. C'est aussi simple que le lavage des mains et l'eau potable. Nous faisons tout notre possible pour donner des informations sur l'hygiène à autant de personnes que possible. Nous distribuons des savons et aquatablets pour chlorer l'eau et nous parlons aussi aux gens vivant dans les camps sur la façon d'éviter l'infection. La coordination avec les autorités locales et d'autres ONG dans le domaine est vitale pour que nous puissions être aussi efficace que possible dans notre réponse. Nos équipes se concentrent sur ça à l'heure actuelle. »
Roland Van Hauwermeiren, directeur pays d'Oxfam en Haïti indique tant qu'à lui « Nos équipes sont prêtes à fournir une réponse d'urgence à cette récente flambée épidémique du choléra. Nous avons déjà préparé un plan d'action pour une éventuelle intervention: notre stratégie est en place, notre stock est prêt et nos experts sont déjà en train de procéder à une évaluation de la situation et de fournir une première réponse. Nous avons maintenant besoin de la communauté internationale, en particulier des donateurs, à soutenir nos efforts. »
« Les premiers cas de cette nouvelle flambée de l'épidémie sont originaires d'une communauté au sud de Port-au-Prince, dans une zone montagneuse, près d'une rivière. Cette zone n'a pas accès à des installations sanitaires et il y a très peu d'eau potable disponible. L'arrivée des fortes pluies la semaine dernière a facilité la propagation de la bactérie dans les sources d'eau locales, qui peuvent avoir provoqué la propagation de la bactérie » précise Mimy Muisa Kambere.
« Nous faisons tout notre possible pour arrêter la propagation de l'épidémie. Oxfam renforce ses programmes d'eau, d'assainissement et d'hygiène dans les camps où nous travaillons déjà dans le région de Carrefour. La propagation du choléra peut être arrêtée par de bonnes pratiques d'hygiène. C'est aussi simple que le lavage des mains et l'eau potable. Nous faisons tout notre possible pour donner des informations sur l'hygiène à autant de personnes que possible. Nous distribuons des savons et aquatablets pour chlorer l'eau et nous parlons aussi aux gens vivant dans les camps sur la façon d'éviter l'infection. La coordination avec les autorités locales et d'autres ONG dans le domaine est vitale pour que nous puissions être aussi efficace que possible dans notre réponse. Nos équipes se concentrent sur ça à l'heure actuelle. »
Roland Van Hauwermeiren, directeur pays d'Oxfam en Haïti indique tant qu'à lui « Nos équipes sont prêtes à fournir une réponse d'urgence à cette récente flambée épidémique du choléra. Nous avons déjà préparé un plan d'action pour une éventuelle intervention: notre stratégie est en place, notre stock est prêt et nos experts sont déjà en train de procéder à une évaluation de la situation et de fournir une première réponse. Nous avons maintenant besoin de la communauté internationale, en particulier des donateurs, à soutenir nos efforts. »
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